Textes d'Autres

A toi que je n'ai pas connu,

Je n'ai jamais eu la chance de te connaître,

Car tu es parti avant que je n'ai pu naitre,

Pour le paradis qui est devenu ton toit,

Pourrais-je te rejoindre depuis le froid ?

Je me fiche de ce qui peut être dit,

Sur toi et sur les choix et actions de ta vie,

Moi j'ai souvent eu peur que tu me blâmes,

Pour toutes les inactions qui perlent de mon âme,

On porte le même prénom pour l'éternité,

J'espère pouvoir faire partie de ta fierté,

Depuis ta nouvelle céleste maison,

Où tu as reçu une douce absolution,

Et même si les cieux nous séparent vraiment,

Je ne t'oublie pas et je pense à toi infiniment.

Jérémie